GJN1 gjngjN

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Migrants et Sea Watch : Évêques et pop-stars pro-Carole

Publié par Guy Jovelin le 03 juillet 2019

Des Mgrs mitrés et crossés aux pop-stars à paillettes, l’intelligentzia de la bien-pensance choisit Carole Rackete, le capitaine du Sea Watch, propulsée nouvelle star médiatique de l’altruisme humanitariste et mondialiste : elle est devenue l’idole, non des jeunes, mais de vieux soixante-huitards ou immigrationnistes assumés, qui sont des combats progressistes laïcs ou religieux.

Chanteurs, partis, intellectuels de gauche radicaux-chics, prélats modernistes, « ils sont avec Carole », et tant pis si elle a violé la loi, ce n’est qu’un point de détail sans importance, et tant pis si elle collabore à la destruction des nations européennes et du peu de civilisation chrétienne qui y survit, c’est un autre point de détail négligeable…

Mgr Gian Carlo Perego, l’évêque de Ferrara-Comacchio, pense que la jeune Allemande est comme Garibaldi. Ex-directeur de Migrantes, la fondation de la Conférence épiscopale italienne, en première ligne dans la propagande pour l’accueil inconditionnel des clandestins, il est convaincu que Carole est une héroïne du « nouveau » monde multi-culturel en marche :

« Le port de Lampedusa peut lui être dédié, propose-t-il. Garibaldi, assassin et brigand contre l’État, aujourd’hui est un héros (révolutionnaire italien duRisorgimento italien). Nous laisserons l’histoire jugée qui est le vrai héros : celui qui ferme un port et chasse ou celui qui sauve des vies. »

L’Église d’Allemagne est en première ligne également dans la défense de la jeune femme. Hier l’archevêque de Hambourg, Stefan Hesse, au nom de la Conférence épiscopale allemande, a jugé « inacceptable » le comportement italien envers Carole Rackete. Les jours précédents, c’était le président de l’Église évangélique, Heinrich Bedford-Strohm, qui s’était insurgé contre le gouvernement de la botte. Ensemble avec le cardinal Reinhard Marx, ils financent et parrainent la collecte de fonds des talibans de l’accueil à bord du Sea Watch.

Présentateurs télé et chanteurs italiens sont aussi du côté de la bonne conscience morale universelle qui dicte que le Bien consiste à recevoir toute la misère du monde s’engouffrant illégalement dans le Vieux Continent et le mal d’y résister.

La collecte de fonds en Allemagne et en Italie destinée à payer les frais légaux du capitaine du Sea Watch, Carole Rackete, les sanctions et le bateau séquestré a déjà dépassé le million d’euros. Le business de l’humanitarisme a encore de beaux jours devant lui…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Les commentaires sont fermés.